
Mine de rien, je débute une quatrième année comme collaborateur aux Échos de la Parole!
Bonne lecture!
http://www.officedecatechese.qc.ca/sens/evangile/2020/a_ord_23.html
Mine de rien, je débute une quatrième année comme collaborateur aux Échos de la Parole!
Bonne lecture!
http://www.officedecatechese.qc.ca/sens/evangile/2020/a_ord_23.html
Le confinement, l’éloignement de nos proches dont nous n’expérimentons la présence que par des moyens virtuels, et si…
Si cette nouvelle réalité nous servait de tremplin pour revisiter le sens et expérimenter à nouveau, comme pour la première fois, une autre réalité qui est celle de la présence du Christ et de son esprit en nous et avec nous?
À l’occasion du 6e dimanche de Pâques (A) du 17 mai 2020, l’Office de catéchèse du Québec publie une belle réflexion dans sa série des Échos de la Parole. Vous la lirez ici :
Le Christ, ni silencieux, ni lointain…
Bonne lecture!
Pour télécharger la carte, cliquez sur l’image :
Ceux et celles qui me connaissent bien savent que je publie régulièrement dans le domaine de la spiritualité et de l’histoire des religions. Voici ma première contribution dans le domaine du plein-air, dans le magazine du trappeur québécois LE COUREUR DES BOIS!
Rien pour révolutionner le monde, un simple compte-rendu d’une activité qui s’est tenue en Outaouais, c’est une première, il y en aura d’autres!
Ref: Serge Cazelais, «Soirée annuelle d’automne de l’APTICO», rubrique “Dans nos régions”, LE COUREUR DES BOIS, hiver 2020 (numéro 55), p. 46
J’ai mis en ligne la page en format PDF. Lisez ça ici!
Sous le titre : “Différents mais rassemblés autour d’une même Parole” parait ma plus récente contribution à la série des Échos de la Parole. Cette série offre une brève réflexion inspirée d’un texte biblique tiré du calendrier liturgique romain.
Dans ce billet, j’aborde la question de l’unité, ou de la malheureuse division des chrétiens qui, trop souvent, portent leurs différences de l’avant plutôt que de mettre l’emphase sur ce qui les rassemble, en l’occurrence une même Parole.
Mon blog est si peu actif que je me permets de vous entretenir ce soir d’autre chose que d’histoire et d’actualités religieuses.
Ce prélude aux Temps des Fêtes 2019 va de surprise en surprise!
Dimanche soir dernier, j’ai eu le plaisir de cuisiner un beau petit lièvre sauvage des collines forestières outaouaises. Nous étions deux à nous partager ce plat de gibier comme j’aime tellement les servir, surtout lorsque je suis en agréable compagnie! Le bonheur!
La recette? Bof, tellement banale; il suffit de dire qu’il y avait de l’Armagnac dans la sauce, une lampée de merlot, quelques carottes, de l’oignon, des champignons, du lard, de la moutarde en poudre, du laurier et du sel. Classique québécois oblige, c’est sur un nid de traditionnelles patates pilées que le plat de résistance a été déposé.
Mais cette histoire prend sa source plus tôt cette semaine alors mon ami Michel Paré avait présenté un Corbières sur sa page facebook. Je lui demande alors s’il me le conseille, il me répond que oui parce que c’est un vin qu’importe sa fille… Wow! Là, la curiosité me pique et ne me lâche pas, comme une tique! L’historien en moi prend alors le dessus sur le chasseur et je me lance dans une recherche qui se révéla passionnante à déguster!
Il faut dire que j’aime le vin des Corbières; ayant passé une année à Lyon à boire au quotidien du Coteaux-du-Lyonnais et du Beaujolais, j’avais l’occasion de boire du Corbières lors de certaines occasions spéciales, donc presque à chaque semaine… Hum… Hum… Et parce que je m’étais lié d’amitié (c’est vite dit) avec un caviste qui tenait boutique quelque part sur la Croix-Rousse et qui ne cessait de me faire l’éloge de nombreux Corbières auxquels il vouait une admiration sans mesures, bien nous buvions du Corbières bien assez souvent!
Avant d’aller plus loin, précisions encore une chose : je ne suis ni sommelier, ni expert en vin, ni dégustateur professionnel, ni un émule de Robert Parker. Je suis simplement un gourmand curieux qui aime les belles choses de la vie. Mais revenons au coeur du sujet parce qu’il faut bien un peu de rigueur dans cet exposé qui n’a rien de savant!
La Compagnon, un Corbières du Domaine Ledogar est un vin naturel (désolé, c’est wiki…), assemblage de 60% de syrah, mis en valeur et supporté par 30% de carignan et 10% de grenache, ce dernier qui le rend croquant à souhait, est importé au Québec par la maison Le Vin dans les Voiles (c’est ici que la fille de mon ami intervient!) Ce que j’en ai pensé? Un vin jeune, pas austère du tout comme le sont parfois les syrah avant leur crise d’adolescence! Il présente un nez de cerise fraiche. En bouche, c’est encore une fois le fruit rouge bien frais qui se note : cerise et mûre qui dominent et cassis qui se discerne à la manière d’un agent secret qui aurait pris les saveurs en filature. Mais attention, nous ne sommes pas ici en présence d’un vin bonbon-charmeur. Avec un taux de sucre de 1.9g/L (selon la fiche de la SAQ), le vin est sec! S’il est fruité à ce point (j’adopte ici le langage des conseillers de notre monopole d’État), c’est que le producteur a su tirer le maximum du potentiel de ses raisins, de bien les assembler et les mettre en valeur, sans artifices.
Je conseille de l’ouvrir une bonne heure avant de le servir, ou encore de le passer en carafe, non pour adoucir ses tanins, mais pour lui donner une petite bouffée d’air frais. Ce type de vin est taillé sur mesure, non pas pour être un blockbuster de concours, mais pour être bu à table! C’est à ça au fond qu’est destiné un vrai bon vin, n »est-ce pas? À ce titre, le petit lièvre sauvage des montagnes braisé et ses morceaux de lard dans sa sauce à dominance de carottes et de merlot ont été d’agréables compagnons (non, non, c’est pas un jeu de mots!) pour ce magnifique vin des Corbières!
Joyeux Noël mes amis, passez des Fêtes en bonne compagnie autour d’une belle table!
Serge, alias Kazz
Notre système économique nous incite à surconsommer à Noël alors que le sens véritable se trouve dans les relations que nous entretenons entre nous.
J’ai publié à ce sujet un billet aux Échos de la Parole. Il a été repris par le site web américain Justice, Peace and Integrity of Creation.
Bonne lecture!
Le plus récent numéro de la revue biblique populaire Parabole est en ligne! Il est consacré aux représentations artistiques des récits de la Nativité!
Aux pages 11 et 12, vous trouverez un de mes articles intitulé « “Çà, bergers, assemblons-nous…” Une lecture de Luc 2, 1-20 ». Je vous invite à une redécouverte de ce magnifique récit en le lisant à travers quelques traditions apocryphes et des extraits de chants traditionnels. Je vous souhaite quelques belles surprises…
Téléchargez ce numéro ici
Échos de la parole publie cette semaine (en vue du dimanche 11 novembre) un billet que je signe, qui consiste en une brève réflexion actualisante de la valeur de l’offrande d’une pauvre veuve par rapport à la vie de jet set que mènent certains membres du clergé de Jérusalem, une histoire tiré d’un extrait du douzième chapitre de l’Évangile selon Marc, les versets 38 à 44.
Lisez ce billet ici : Les deux mains dans le plat de bonbons.
Le 22 octobre 2018, j’étais l’invité de Mario Bard à l’émission Questions d’aujourd’hui sur les ondes de Radio VM et de Radio Galilée.
Nous parlons de la Saint-Vincent-de-Paul, de pauvreté et du diaconat au sein de l’église catholique.
Écoutez-là ici sur Soundcloud :
De quoi vous mettre sous la dent en attendant mes podcasts…
Vient de paraître!
Le numéro de Juin 2018 de la revue Parabole s’intitule « Faire route avec elles ». Il est consacré à d’importantes figures féminines présentes dans la Bible.
Je signe un article intitulé (et oui, sans surprise) « Marie Madeleine, l’apôtre méconnue ».
Pécheresse et prostituée dans plusieurs croyances populaires, femme de Jésus et mère de ses enfants dans de nombreux mouvements ésotériques et « new age ». Voilà quelques-unes des descriptions faussement attribuées à Marie de Magdala. Mais si ces titres sont erronés, qui est-elle vraiment?
Marie Madeleine se révèle une disciple active et un témoin de première importance des faits et gestes de Jésus. Le Christ fait d’elle une apôtre missionnaire et l’envoie annoncer aux autres qu’il monte vers le Père.
Téléchargez gratuitement ce numéro ici :http://www.socabi.org/documents/Parabole_34-2.pdf
Parabole est une revue biblique populaire publiée quatre fois par année, préparée et diffusée gratuitement par Socabi, (Société catholique de la Bible). Je vous invite à soutenir Socabi au moyen d’un don.
Je fais paraître pour dimanche le 20 mai 2018 une petite réflexion sur un passage de l’évangile de Jean, 7, 37-39 intitulé “La vie spirituelle comme écosystème”.
Vous pouvez la lire sur Échos de la Parole.
Pour ceux et celles qui avaient de la difficulté à écouter mes chroniques sur dropbox, je viens de créer ma chaine sur Soundcloud et d’ici l’automne, il va y en avoir du contenu mes amis!
Chronique du 17 janvier 2018 à l’émission “Questions d’actualité” animée par Jean-Philippe Trottier sur les ondes de Radio VM.
Deux découvertes récentes en matière de manuscrits chrétiens :
Une nuance cependant à apporter. La nouvelle dit qu’il s’agit d’une première attestation en grec d’un texte de Nag Hammadi dont la langue est le copte (égyptien parlé et écrit durant la période de l’empire romain). En fait nous avons déjà quelques fragments grecs de l’Évangile selon Thomas.
Cette technique avait déjà permis de lire un très ancien rouleau de la Torah trouvé carbonisé à En-Gedi en Israël que les savants datent du premier siècle, donc contemporain des Manuscrits de la Mer Morte.
Pour aller plus loin…
First Greek Fragments of a Nag Hammadi Text Discovered among Oxyrhynchus Papyri!
Scanning an Ancient Biblical Text That Humans Fear to Open
Première Apocalypse de Jacques
Deuxième Apocalypse de Jacques
et pourquoi pas… Au sujet des des Apocalypses de Jacques et du baiser sur la bouche…
Serge Cazelais, 2016, “Jésus était-il marié?”, Questions controversées sur la Bible, S. Doane (Dir.), Montréal: Novalis, p. 175-196. (le livre est présentement épuisé, mais il m’en reste quelques exemplaires!)